Dans le prolongement du séminaire en ligne « Real estate risks » de mars dernier, une visioconférence d'actualité en anglais s'est tenue ce 14 septembre pour une quarantaine de participants de tous continents, sur les marchés immobiliers dans la crise Covid-19 : les interactions entre immobilier résidentiel et commercial représentent un point d'intérêt croissant pour les banques centrales, à la fois pour les économistes, les régulateurs, et sous l'angle de la stabilité financière, avec un recours accru aux mesures macro-prudentielles.
Les nouvelles solutions pour améliorer ce suivi ont été exposées, qu'il s'agisse des prix ou des loyers ou de la construction par exemple, en utilisant des techniques telles que le webscraping, les données satellite ou les tendances Google (Google trends).
Les débats ont montré l'impact immédiat et potentiellement plus structurel de la crise actuelle sur l'immobilier en dépit d'une chute temporaire du nombre d'offres postées, en ouvrant un champ pour construire des statistiques alternatives haute fréquence disponibles plus rapidement.
L'importance relative et la durée d'influence des différents facteurs varient selon les pays que l'on peut séparer en plusieurs groupes, en fonction du dynamisme des prix pendant la pandémie et autour de la grande crise financière.
Sur tous ces aspects, les participants étrangers ont bénéficié d'échanges avec :
- Jean-Charles BRICONGNE (DGSEI) :
consulter la présentation - Thomas GARCIA et Matthieu SEGOL (DSF-DGSO) :
consulter la présentation - Thomas FERRIERE (ACPR) :
consulter la présentation - Boris COURNEDE et Volker ZIEMANN de l'OCDE :
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